Joseph Djogbenou est né le 20 mars 1969 à Abomey au Bénin. Il est agrégé des Facultés de droit, droit privé et sciences criminelles de l`Université d`Abomey-Calavi. Avocat au Barreau du Bénin, il est également le Directeur du Centre de Recherche et d`Études en Droit et Institutions Judiciaires en Afrique (CREDIJ) et est professeur à la Faculté de Droit et des Sciences Politiques de l’Université d`Abomey-Calavi depuis 2010.

Joseph Djogbenou est né le 20 mars 1969 à Abomey au Bénin. Il est agrégé des Facultés de droit, droit privé et sciences criminelles de l`Université d`Abomey-Calavi. Avocat au Barreau du Bénin, il est également le Directeur du Centre de Recherche et d`Études en Droit et Institutions Judiciaires en Afrique (CREDIJ) et est professeur à la Faculté de Droit et des Sciences Politiques de l’Université d`Abomey-Calavi depuis 2010.
Entre 2002 et 2005, Joseph Djogbenou est président de l’ONG Droits de l’Homme, Paix et développement (DHPD). De 2006 à 2007, il est membre du Front des Organisations de la Société Civile pour le Contrôle Citoyen de l’Action Publique (FORS CAP). Joseph Djogbenou a également contribué à la mise en place de la Direction du réseau Front des Organisations de la Société Civile pour l’établissement de la Liste Électorale Permanente Informatisée (FORS-LEPI).
Joseph Djogbenou a occupé les grandes lignes de l’actualité nationale en étant notamment l’avocat de l’homme d’affaires Patrice Talon, dont l’implication présumée dans une affaire de tentative d’empoisonnement contre le Président Boni Yayi a défrayé la chronique.
Me Djogbenou s’avère aussi l’un des souteneurs du mouvement du Mercredi rouge, contre une révision de la Constitution Béninoise.
En Janvier 2014, Joseph Djogbénou et ses alliés ayant soutenu le Mercredi Rouge transforment leur mouvement dénommé Alternative Citoyenne, jusque là appartenant à la Société civile en parti politique. Maître Djogbénou est nommé Président d’honneur du parti.
Il rédige plusieurs publications telles que « L’idée de révision de la Constitution Béninoise du 11 décembre 1990 : entre progrès et regrets : Une tentative de lecture du « texte final » de la « commission ad’hoc de relecture de la Constitution » ou « Réflexion sur la juridiction présidentielle en matière d’exécution forcée en droit OHADA, à paraître dans la revue béninoise des sciences juridiques et administratives ».

« L’idée de révision de la Constitution Béninoise du 11 décembre 1990 : entre progrès et regrets : Une tentative de lecture du « texte final » de la « commission ad’hoc de relecture de la Constitution »

« Réflexion sur la juridiction présidentielle en matière d’exécution forcée en droit OHADA, à paraître dans la revue béninoise des sciences juridiques et administratives ».